C'est l'histoire de deux sœurs que tout oppose : Joséphine (Julie Depardieu), chercheuse au CNRS, acculée par des problèmes d'argent, décide de larguer son bon à rien de mari (Samuel Le Bihan) qui, du coup, part diriger un élevage de crocodiles en Afrique du Sud. Iris (Emmanuelle Béart), entretenue par son mari (Patrick Bruel) mène une existence de mondaine oisive, entre déjeuners et spas. Iris aime le luxe et la mollesse [...] mais aspire à l'écriture.

Au cours d'un dîner, pour donner un peu de relief à sa petite vie, elle lance avec éclat qu'elle est train d'écrire un roman sur une femme marchande au XIIe siècle. Il s'agit là du sujet de recherche de sa sœur, qu'elle persuade à toute force, d'écrire le livre à sa place, émoluments à l'appui. Le livre deviendra un best-seller [...] mais la supercherie ne fera pas long feu.

http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1188122-les-yeux-jaunes-des-crocodiles-avec-julie-depardieu-ca-degouline-de-bons-sentiments.html

Avant même d'avoir terminé la trilogie de Katherine Pancol que j'étais en train de lire, je suis allée au cinéma voir le film tiré du premier opus, Les Yeux jaunes des crocodiles. Ben oui, c'était jour de ciné avec Jules, et il y avait une séance pile poil à l'heure qui nous arrangeait. Je ne pouvais pas rater ça.  

Le film était bien, très bien même, j'ai ri, j'ai pleuré, j'ai passé une bonne soirée, Jules aussi malgré l'adaptation de ce best-seller à forte teneur féminine...

D'un côté, c'est la copie conforme du bouquin, au geste près, au dialogue près.

D'un autre côté... vraiment, mais vraiment, mais vraiment-vraiment, que c'est difficile d'aller voir un film tiré d'un livre que l'on vient de lire !

Je me demande toujours comment font les gens qui n'ont pas lu le livre font pour tenir la cadence, comprendre l'histoire qui, même fidèle, est pourtant survolée, amputée, compressée, superficielle, taillée dans le vif... Par exemple (pour n'en citer qu'un), l'histoire de Marcel et Josiane (que j'adore) est bâclée et on ne voit ni René ni Ginette, sans compter certaines aberrations du casting : Josiane est toute maigre, Joséphine est toute maigre, Iris est blonde, cherchez l'erreur... Par contre, Hortense est détestable à souhait !

Pour tout dire, j'ai été déçue par le personnage de Joséphine joué par Julie Depardieu : dans le film, elle fait vraiment nunuche, godiche, mièvre et paumée. Franchement, je ne l'ai trouvée ni attachante, ni intelligente, ni attirante, comme elle l'est dans le livre. Elle en fait trop peut-être ?

Une mention spéciale en revanche pour Patrick Bruel, digne et sobre en toutes circonstances, Monsieur Parfait ou Monsieur Zéro Défaut en quelque sorte, ce qui m'a un peu réconciliée avec lui depuis Le Prénom.

Film se laissant voir donc, mais sans urgence, ça peut sans certainement attendre la sortie du DVD. Sauf pour les vrais fans bien sûr.    

Depuis lundi dernier, les températures ont fondu

Peut-être le soleil s'est-il perdu

En tout cas la douceur a complètement disparu

C'est quoi c't'embrouille, sûrement un malentendu

Car le mois de mai est là, à notre porte, plus que jamais attendu

Donc, please, mettez le carbu

Renvoyez-nous l'authentique printemps fissa, sortez-le vite du rebut

Avec si possible chaleur, ciel bleu, énergie et lumière inclus

C'est quand même pas trop demander hein, ou bien j'm'y connais plus

Amis petitcoindecielophiles, j'ai fait de mon mieux vous avez vu

Pour qu'on nous rende rapidos notre dû

Alors, j'espère que ça sera mieux la semaine prochaine. En attendant, je vous laisse avec du gris. Désolée, et salut !

Et chez Mélissa et Arlette en Belgique, Valérie et Mamylou dans les Pays-de-la-Loire, Minouche en Poitou-Charentes, Marylou en Alsace, Marianne68 en PACA, Andrée/Erato en Rhône-Alpes et Val1603 en région parisienne c'est comment ?

Lundi 21 avril

Ouaaaiiis, Jules est parti pour 2 jours chez belle-maman. Quoi ? C'est pas très sympa c'que j'dis ? Mais siiii, ça fait du bien de se quitter de temps en temps... c'est pour mieux se retrouver ensuite ! 

Mardi 22 avril

Bof, j'fais ma rebelle aujourd'hui. Pas de kifs. Ce matin au boulot, je n'ai pas retrouvé le programme informatique avec lequel je travaille principalement, le .exe avait disparu pendant le week-end, dixit l'informaticien... Le téléphone a bugué toute la journée et je n'entendais qu'un patient sur trois (encore une panne généralisée mais moins grave que le mercredi de cette semaine-là). Ce soir à 18h10, voulant terminer à tout prix un truc, j'ai cassé l'imprimante alors que j'aurais dû être partie depuis 17h45. Et en rentrant à la maison, Fiston 3 venait de recevoir une réponse négative du job d'été pour lequel il pensait fort fort fort être pris et dont je vous causais lundi dernier...

Mercredi 23 avril

Un "petit" tour chez l'ostéopathe (qui a duré plus d'une heure tant il y avait de boulot !) après lequel je ressors comme neuve ! Ou presque.

Jeudi 24 avril

Mardi, j'étais dégoûtée par la réponse négative reçue par Fiston 3. Aujourd'hui, il m'annonce qu'il a un nouvel entretien la semaine prochaine, dans un camping cette fois ! To be continued again...

Vendredi 25 avril

Avec Fifille, on s'fait des films de filles. Après Le Diable s'habille en Prada et Titanic dont je vous parlais là), ce soir c'est 4 mariages et un enterrement. Garçons strictement interdits. C'est vrai quoi les gars, laissez-nous soupirer, verser notre petite larme tranquille et retournez donc regarder Star Wars ou Matrix.

Samedi 26 avril

Les enfants ont préparé le repas du soir : croque-monsieurs au menu. Et zéro boulot pour Vivi.

Dimanche 27 avril 

J'ai kiffé le match de hand de l'équipe de Fifille. Elles se sont arrachées et elles ont gagné 28 à 21, même si Fiston 2 (qui était venu gentiment assister à la rencontre) a déploré que sa sœur n'ait pas marqué un seul but. Euh... comment vous dire que... en fait... elle est gardienne. Alors, à moins, d'avoir le don d'être partout...

J'aime bien aller sur le blog de Mary : il y a du bleu, il y a du blanc, il y a des mouettes et la mer, il y a des vagues et des éoliennes. Ça sent bon la Bretagne, les embruns et la nature.

La météo du lundi et la communauté Petit coin de ciel, c'est elle !

Des articles sur tous les phares de France et de Navarre et même au-delà, c'est elle ! Mais oui, il y a même ceux du Cap-Ferret et de Cordouan, 33 représente, si si !

Les gâteaux d'anniversaire dinosaure, casque de pompier ou escargot, c'est elle !

Les bons tuyaux pour des chambres d'hôtes hors du commun, c'est elle !

Les conseils pour m'aider à faire les liens comme il faut dans mes articles, c'est elle !

Et mon entrée de Pâques, économique, facile, originale et qui a eu un succès fou (oui, oui, les ados et même Jules sont restés de grands enfants), c'est elle aussi. Pour la recette, c'est là, je n'ai rien à rajouter sauf peut-être quelques petits trucs qui m'ont encore plus facilité la tâche : pour faire le nid j'ai mis les carottes râpées dans un moule à baba que j'ai ensuite retourné comme une crêpe sur un plat à bords hauts, pour faire la poche à douille (que je n'ai pas) j'ai pris un petit sac congélateur dont j'ai coupé le coin et pour faire tenir droit les œufs pendant que je les remplissais je les ai mis dans un moule à petits muffins.

Essayez, c'est un jeu d'enfant.

Amis petitcoindecielophiles, bonsoir.

Fin de la journée, fin du week-end à rallonge (sauf pour moi... car le lundi à la maison, c'est comme d'hab), fin des vacances.

Du moins pour moi.

Fin du concours pour Fiston 2, fin des épreuves demain.

Du moins pour l'écrit.

Côté météo aujourd'hui, on peut dire qu'il a fait vraiment beau.

Du moins ce matin.

En plus du ciel bleu, j'ai photographié la lune (et tout ça pour le même prix). Ensuite, les nuages sont arrivés, envahissant tout l'azur, mais la sensation de beau temps est restée.

Du moins une grande partie de la journée.

Ailleurs, il y a eu des nuages pour Mary et du mitigé pour Claudine/Canelle en Bretagne, du bleu pour Mélissa et Cigalette mais de l'orage pour Arlette en Belgique, du couvert pour Carole en Nord-Picardie, des flocons et du froid pour Marianne68 en PACA, du gris pour Marylou en Alsace.

Les participations sont moins nombreuses on dirait...

Du moins cette semaine...

Les photographes amateurs de petits coins de ciel sont en vacances peut-être ? Ou alors il a fait vraiment trop moche et personne n'a voulu partager ?

Du moins c'est ce qu'on peut penser...

Je ne m'éternise pas en blablas ce soir, j'suis crevette (comme dirait Fifille). Oui, oui, même après dix jours de vacances... Comme quoi, il m'en aurait fallu plus. Je le saurai pour la prochaine fois. Et puis, il me semble que je manque un poil d'imagination et que je me répète un peu.

Du moins, j'ai comme l'impression...

Lundi 14 avril

Un coup de fil impromptu et voilà Fiston 3 convoqué à un entretien pour un job d'été dans un hyper du bord de plage. Pile poil ce dont il rêvait. L'étape suivante c'est l'entretien avec le chef de rayon... To be continued...

Mardi 15 avril

Je me suis (encore) invitée à boire le café chez une copine pas vue depuis plusieurs mois. Elle était vraiment contente quand je l'ai appelée pour lui demander si je pouvais venir, son "avec plaisir !" venait franchement du fond du coeur.

Mercredi 16 avril

Avec Fifille, on a surpris Fiston 2 à la sortie d'une épreuve (de français, hiii coef. 2, super importante)... avec une belle boîte en fer blanc remplie de cookies plein de gros chunks de chocolat et de love.   

Jeudi 17 avril

Une belle vidéo envoyée par Cockpit ou comment expliquer en peu de mots qu'être une maman est vraiment un job à plein temps et même plus. 

Vendredi 18 avril

J'ai fini la trilogie de Katherine Pancol (article à suivre). Ouaaaiiiis, c'était bien (et en même temps, snif, c'est fini).

Samedi 19 avril

Faire des courses et dépenser des sous pour la maison avec Jules. Une fois n'est pas coutume.

Dimanche 20 avril

Pâques, la chasse aux oeufs, le repas avec les enfants, mon entrée "poussins sur nid de carottes râpées" (merci Mary, article à suivre), les canelés faits par Fiston 1, le gâteau au chocolat fait par sa chérie, et même la balade digestive (mais y'avait besoin) de 9 kms avec Jules.

Bref, tout !

La société Card Store (site de vente de cartes et d'invitations) a posté en ligne et dans les journaux une annonce pour un emploi. Elle a ensuite fait passer des entretiens via webcam à des prétendants au poste. Mais les candidats vont vite déchanter quand le recruteur va décrire le poste... 

A regarder absolument JUSQU'AU BOUT !

Chose promise (même si c'était il y a presque 3 mois), chose due.

Voilà la recette des cookies de Fifille (pour environ 50 biscuits de taille moyenne) :

200 g de beurre

125 g de sucre roux

125 g de sucre cristallisé

350 g de farine

1 sachet de levure en poudre

1/2 c. à café de sel

1 gros œuf

4 c. à soupe de lait

150 g de chocolat noir à croquer

Hacher grossièrement au couteau le chocolat.

Réduire le beurre en crème en le travaillant au batteur.

Ajouter le sucre blanc et roux, continuer à battre pour que le mélange soit très crémeux.

Ajouter l'œuf entier et battre encore.

Mélanger la farine, le sel, la levure et tamiser le mélanger.

Ajouter à la pâte en la travaillant toujours énergiquement. Le mélange obtenu est d'une consistance assez ferme, ajouter 3 à 4 cuillères à soupe de lait si la pâte semble trop épaisse.

Incorporer le chocolat haché.

Faire des petits tas à l'aide d'une cuillère à café. Les aplatir un peu et les disposer sur une plaque.

Enfourner à 220°C, pas plus de 6-7 mn pour garder le moelleux des gâteaux (ils doivent être à peine colorés en surface), 8 mn pour qu'ils soient bien croquants.

Laisser tiédir sur la plaque du four avant de les décoller et les ranger dans une boîte métallique. 

A consommer avec modération bien sûr...

Il y a des gens avec qui l'on passe une grande partie de sa vie et qui ne vous apportent rien. Qui ne vous éclairent pas, ne vous nourrissent pas, ne vous donnent pas d'élan. Encore heureux quand ils ne vous détruisent pas à petit feu en se suspendant à vos basques et en vous suçant le sang.

Et puis...

Il y a ceux qui l'on croise, que l'on connaît à peine, qui vous disent un mot, une phrase, vous accordent une minute, une demi-heure et changent le cours de votre vie. Vous n'attendiez rien d'eux, vous les connaissiez à peine, vous vous êtes rendu léger, légère, au rendez-vous et pourtant, quand vous les quittez, ces gens étonnants, vous découvrez qu'ils ont ouvert une porte en vous, déclenché un parachute, initié ce merveilleux mouvement qu'est le désir, mouvement qui va vous emporter bien au-delà de vous-même et vous étonner. Vous ne serez plus jamais vermicelle, vous danserez sur le trottoir en faisant des étincelles et vos bras toucheront le ciel.

C'est ce qui arriva à Joséphine ce jour-là.

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